Sophie de MIJOLLA-MELLOR, conférence décembre 2018

Il n’y a pas de vie humaine sans une activité de pensée au sens d’une représentation de la rencontre entre les objets du monde extérieur et les zones sensorielles du corps.

Si nous supposons que la pensée existe dès qu’il y a un organe spécifique capable d’emmagasiner les traces des impressions sensorielles vécues, on admettra que celle-ci est active dès la vie intra-utérine – ce que confirment les recherches actuelles rendues possibles par l’imagerie échographique, sur les séquences gestuelles du fœtus et leur interprétation.

Pour lire la suite, cliquez sur la loupe :